Fan de Basket!!! Rejoint-moi

Ainsi, Vincent Collet a retenu 14 joueurs (+4 réservistes), quasiment tous en provenance de franchises NBA ou de clubs évoluant dans la plus prestigieuse compétition européenne. 


Les «Américains» Rudy Gobert (élu meilleur défenseur de la NBA le 25 juin ?), Evan Fournier et Nicolas Batum font ainsi partie de la liste.


Idem pour les «Européens» Nando de Colo, Fabien Causeur (adversaires ce vendredi lors du Final Four de l'Euroligue à Belgrade avec, respectivement le CSKA Moscou et le Real Madrid), Thomas Heurtel, Edwin Jackson, Mathias Lessort et Vincent Poirier.


Artisans du 4/4 des Bleus jusqu'ici en qualifications pour le Mondial, Andrew Albicy, Moustapha Fall, Louis Labeyrie (absent sur blessure lors du dernier rassemblement) et Paul Lacombe sont appelés aussi. Comme l'éternel capitaine de la sélection nationale, Boris Diaw (245 sélections), dont l'avenir reste à ce jour incertain, l'hypothèse d'une retraite qui n'étant pas à exclure.


En attendant, il peut rejoindre sa maman, l'ex-internationale tricolore Élisabeth Riffiod, avec 247 sélections lors de ce prochain rassemblement.


Avec déjà quatre victoires en poche lors de leurs quatre premières sorties dans ces matches qualificatifs pour la Coupe du monde 2019, contre la Belgique (70/59 et 64/49), la Bosnie (84/65) et la Russie (75/74 – avec un immense Boris Diaw), les Bleus sont déjà assurés de leur place en deuxième phase.


Les deux matches à venir ne sont toutefois pas sans intérêt :


les résultats de la première phase compteront pour la deuxième. A noter que l'équipe de France et les deux autres sélections qui sortiront du groupe E croiseront avec le groupe F, composé de la Bulgarie, la Finlande, l'Islande et la République Tchèque.


On sait déjà que la France se déplacera lors de son premier match de la deuxième phase, avant de recevoir lors du deuxième.


Ce sera le 16 septembre à Montpellier.


Avant cela, la FFBB a prévu un tournoi amical à Paris, avec des affiches contre le Monténégro (07/09) et la Grèce (09/09).


Tournoi à l'occasion duquel l'équipe de France féminine de Valérie Garnier sera également de sortie, face à la Lettonie (07/09) et l'Australie (08/09). Une belle fête en perspective.  

                Dans la foulée du mouvement Black Lives Matter (les vies noires comptent), de plus en plus de vedettes de la NBA font entendre leur voix sur les questions de justice sociale, au premier rang desquels LeBron James. Les positions de Donald Trump n'ont fait qu'attiser leur colère.


                Tables rondes réunissant joueurs et policiers, accompagnement de projets visant à aider les communautés ou organisation de conférences autour de la question raciale dans le sport... la NBA a multiplié les initiatives.


                 A la différence de la Ligue professionnelle de football américain (NFL), qui a soutenu ses joueurs face aux insultes de Donald Trump mais n'a jamais pris position au sujet de leurs revendications, celles énoncées par le quarterback  Colin Kaepernick en tête, la NBA s'investit.

                Géant. Cinq terrains de baskets à l'effigie de cinq icônes du basketball viennent d'être inaugurés à Manille, aux Philippines. Des oeuvres d'art visuellement démentes qui sont en plus connectées.

1 – James Harden
Bilan : Rockets – 14v-3d – 1er à l'Ouest
 
2 – Kyrie Irving
Bilan : Celtics – 16v-2d – 1er à l'Est
 
3 – Stephen Curry
Bilan : Warriors – 13v-4d – 2e à l'Ouest
 
4 – LeBron James
Bilan : Cleveland – 10v-7d – 4e à l'Est


5 – Giannis Antetokounmpo
Bilan : Bucks – 8v-8d – 9e à l'Est

             La cuvée de rookies 2017 sera excellente ou ne sera pas ». C'est un peu l'idée qui prédomine après un peu plus d'un mois de compétition, Neuf d'entre eux tournent ainsi au-dessus des 10 points de moyenne – c'est mieux que Malcolm Brogdon, le dernier Rookie Of The Year – avec un Jayson Tatum titulaire et décisif à Boston, un Kyle Kuzma précieux à L.A. pour palier les errances de Lonzo Ball, des Donovan Mitchell et Lauri Markkanen déjà titulaires ou encore un Ben Simmons qui s'approche ni plus ni moins du triple double de moyenne.
 
             Sa ligne de stats exacte : 18.7 points à 52.3%, 9.7 rebonds, 7.6 passes et 2 interceptions en 35 minutes. Le bilan de Philly : 9 victoires et 7 défaites pour une septième place à l'Est. De quoi imaginer l'Australien prétendre à quelques votes au classement du MVP, s'il maintient la cadence – et les Sixers avec – chose rare dans l'histoire récente de la ligue puisque si quarante-six rookies ont obtenu des votes pour le trophée de MVP depuis 1956, ils ne sont que dix lors des trente dernières années et trois au XXIe siècle !
 
             Les heureux élus depuis 1988 : Mark Jackson (13e), David Robinson (6e), Shaquille O'Neal (7e), Jason Kidd (13e), Allen Iverson (17e) Tim Duncan (5e), Vince Carter (16e), LeBron James (9e), Carmelo Anthony (14e) et Blake Griffin (10e). On constate donc qu'il est rare d'être mentionné, et qu'il l'est davantage de faire partie des meilleurs parmi les meilleurs.
 
              Sur les quarante-six débutants en question, douze ont réussi l'exploit de figurer dans le Top 5 du vote, et seulement deux ont reçu la statuette : Wilt Chamberlain en 1960 et Wes Unseld en 1969. Une autre époque...

J'ai toujours cru que si vous mettez tout en oeuvre pour réussir, les résultats viendront.